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Parce que la renaissance dans le Bouddhisme est un point essentiel admis,  voici encore deux autres histoires véridiques suffisantes pour l’illustrer.


En Inde


Il y a quelques dizaines d’années, la revue MAI a publié, avec photos à l’appui, l’ anecdote suivante : en Inde, à la Nouvelle Delhi, une fillette de 8 ans qui se nomme Phatidevin, se met à pleurer abondamment en suppliant ses parents de l’emmener  à la ville de Mita pour rencontrer son mari, un enseignant. Les deux villes étant distantes de 200 kilomètres, les parents sont très intrigués et demandent à un journaliste de procéder à une enquête.

Le journaliste est venu pour s’enquérir auprès de la fillette. Voici ce qu’elle déclare : elle était la femme d’un enseignant, d qui elle eut un enfant. Quand celui-ci atteignit l’âge de 11 ans, elle tomba malade et en mourut.

Le journaliste exige des preuves. La fillette révèle qu’avant de mourir, elle laissa des lingots d’or et d’argent ainsi que plusieurs objets, qu’elle enterra à un endroit précis. Elle laissa à son mari un éventail avec des inscriptions. Le journaliste se rend à Mita où il rencontre l’enseignant dont il s’agit. Tous les deux se sont mis à vérifier les dires de la fillette, lesquels se trouvent confirmés point par point.

De retour à la Nouvelle Delhi, le journaliste ne peut que confirmer aux parents l’exactitude des propos de Phatidevin. Pour les édifier complètement, il les conduit en voiture jusqu’à Mita. Quoique très jeune, et n’ayant jamais quitté la capitale, Phatidevin,s’ingénie à indiquer tout le chemin à suivre jusqu’à Mita en donnant même les noms des connaissances et parents qui habitent e,n bordure de la route.

La voiture arrive là où elle ordonne de stopper, juste devant la demeure du père de l’enseignant, un octogénaire. Elle se précipite sur lui en criant :

- Voici le père de mon mari.

Enfin, elle accourt vers un enfant en bas âge pour l’embrasser, en versant d’abondantes larmes :

- Enfin, voici mon fils.


Cette histoire ahurissante a défrayé les chroniques de l’époque, dans le monde entier qui n’y a rien compris, sauf nous, les bouddhistes, qui y voient l’illustration de la plus éloquente du dogme samsarique.


▪ Une histoire de mutation karmique avec changement corporel


Il y a plus de 30 ans de cela, à Cà Mau (Tuk Kmau - Eau Noire ) au sud Viêt Nam, il s’est passé un fait extraordinaire qui a remué l’opinion publique : le premier notable du village de Tân-Viêt, notoirement connu dans la région du  Ðấm - Giới (Étang aux chauve souris) sous le nom de Ông Cà Hiêu, a une fille âgée de 19 ans. Par mlaheur, elle tombe malade et passe de vie en trépas.

À une centaine de kilomètres de là, le notable  Thứa du village de Vinh My, district de Bac liêu (de Po Loenh : le Banian Sacra), a aussi une fille à peu près du même âge, qui meurt de maladie, mais qui revient subitement à la vie. Elle se met à parler de choses et d’autres devant la famille ahurie qui croit rêver.

Elle pleure abondamment tout en suppliant de la faire réintégrer sa véritable famille qu’elle désigne du nom de Ông Ca Hiêu. Elle précise même le nom du village, avec toutes les coordonnées qui permettent précisement de retrouver la famille.

Le notable Thứa est allé chercher le premier Hiêu pour lui raconter l’histoire surprenante à faire sursauter les gens de toute la région. Ils se rendirent tous les deux à Vinh My. A la vue du notable Hiêu, la jeune fille ressuscitée accourt emmbrasser, à chaudes larmes, celui qu’elle considère comme son père. Puis elle se met à raconter les menus détails de son existence chez le notable, avec une précision étonnante.

Naturellement, son « âme » a quitté son ancien corps, alors en désintégration, pour venir habiter le corps de la fille du notable Thứa cette fille « ressuscitée » appartient désormais à deux familles, l’une pour le corps et l’autre pour l’âme, les deux familles la tiennent en affection et elle bénéficiera d’un double héritage.



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